Violence, addiction… Ces deux mots reviennent trop souvent dans les conversations lorsqu’on parle de jeux vidéo. La faute aux media ? En partie. Ils ont été nombreux à relayer la – fausse – histoire de ce garçon de 5 ans qui avait poignardé sa soeur car elle refusait de lui prêter sa console de jeux. Parallèlement, quand certaines chaînes de télévision généralistes s’emparent du sujet de l’addiction, le résultat n’est pas toujours à la hauteur.
Le gouvernement néo zélandais, en tous cas, a décidé de s’attaquer au problème de la violence en poursuivant les parents qui achètent des jeux 18+ à leurs enfants. Bon, on se demande un peu comment il va faire pour contrôler les achats de jeux. Mais cette politique a au moins un mérite : elle pointe d’abord la responsabilité des parents, et non pas celle de l’industrie du jeu vidéo. C’est toujours mieux que d’assimiler le jeu vidéo à une nuisance, sans chercher à comprendre, comme le fait la campagne de pub britannique Change4Life.
Pingback:Jeux 18+ : la Nouvelle Zélande sévit
This is well known that money makes us autonomous. But what to do when someone doesn’t have cash? The only one way is to get the loan or auto loan.
Shamal strategy: Voici l’emplacement à l’aéroport
où vous pouvez trouver une Shamal (petit avion de ligne).