Les mondes virtuels inspirent les artistes. L’un des derniers à s’interroger sur le pourquoi du comment de la dématérialisation d’une partie de nous même n’est autre que William Sheller, dans son album "Avatars".
Je ne vais pas faire ici la critique de l’album. Les fans eux même sont divisés à son sujet. Je me contenterai de reprendre quelques propos de l’artiste. "Avatars n’est pas calculé sur le fil comme un Melody Nelson. Il n’y a pas vraiment d’histoires, comme dans ces mondes que je parcours, comme dans Second Life. Plutôt une humeur générale, un ‘machin’", explique le compositeur sur Rfimusique.com. Visiblement, William Sheller a bien ressenti l’aspect bordélique (pardonnez-moi l’expression) et étrange des mondes virtuels. Les mauvaises langues diront : ça ce voit même sur la pochette !
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